Vincent Lagaf’, ou Vincent Rouil de son nom de naissance, a commencé à percer dans l’émission humoristique La Classe en 1987. De succès en succès, l’interprète de la chanson Bo le Lavabo a ensuite été nommé aux commandes de jeux télévisés. Assurément, de nombreux téléspectateurs se souviennent de ses anciens programmes. Grâce au Bigdil, Crésus, Le Juste Prix et bien d’autres, l’homme a réussi à se faire un nom et à amasser une belle fortune. Pourtant, celui qui a actuellement 64 ans ne jouit pas d’une merveilleuse retraite.
Vincent Lagaf’ se livre sur le montant étonnant de sa retraite
Vincent Lagaf’, Jean-Pierre Foucault, Sophie Davant et Benjamin Castaldi ont été invités dans Télé : ton univers impitoyable. L’occasion pour l’ancien animateur de L’Or à l’appel d’évoquer sa fin de carrière moins brillante. Au passage, le père de Robin a révélé le montant de sa retraite. Un chiffre qui l’a lui-même étonné.
« Je n’ai fait de mal à personne, je payais quand même mes impôts. J’ai payé des impôts. Et d’ailleurs quand je touche ma retraite, je me dis : ‘Vous êtes sûrs que j’ai payé tout ça d’impôts ?’ Parce que là je suis à 1 700 balles de retraite », a-t-il révélé.
Se retrouvant aujourd’hui avec un revenu modeste, l’ex-mari de Véronique gagnait pourtant une belle somme durant sa carrière. Effectivement, il aurait été payé 8 000 euros par jour pour son succès dans Le Bigdil. En aucun cas, il n’avait donc à se soucier de ses fins de mois et sa notoriété lui permettait d’ouvrir « toutes les portes ».
D’ailleurs, lors de son interview, Vincent Lagaf’ s’est livré sans tabou sur son quotidien et ses caprices prodigues. Un train de vie qu’il ne pourra malheureusement plus poursuivre avec une retraite de moins de 2000 euros.
« J’ai pris le loto dans l’ordre d’un coup », victime du syndrome de la grosse tête
Selon les confidences de Vincent Lagaf’, son succès a été si soudain qu’il s’est facilement laissé piquer par la grosse tête.
« Je n’ai pas gagné d’argent jusqu’à l’âge de 30 ans, et puis à 30 ans j’ai pris le loto dans l’ordre d’un coup », a-t-il livré.
Avouant avoir « pété les plombs », il a précisé qu’avec l’argent, il a pu s’offrir ce dont il avait envie. D’ailleurs, dans l’émission de C8, l’ancienne star de la télévision n’a pas hésité à raconter une anecdote sur son passé dépensier. En voulant acheter une Jaguar, il a une fois dit au vendeur qu’il allait lui rajouter « 20 % », pour éviter d’attendre six mois.
Justement, à propos de sa gabegie, Vincent Lagaf’ a déjà fait d’autres confidences lors d’une ancienne interview.
« Toute la journée, c’était la même sérénade : ‘Il est où Bill ? Elles sont où, les Gafettes ?’ Je gagnais tellement d’argent que je ne m’appartenais plus », a-t-il précisé.
Par ailleurs, malgré son étonnement, l’ancien animateur de TF1 ne se plaint pas pour autant de sa retraite actuelle.
